SYAM

SYAM, dans le Haut-Jura.

Au centre de l’image, la hauteur de l’actuelle forêt communale de Champagnole où stationna une grande partie de l’armée gauloise de secours.

Vue d’une partie de la plaine de Syam; on devine (haies d’arbres rectilignes) la terrasse (une carrière assez récente l’a défigurée), d’origine glaciaire, de Syam, d’une superficie actuelle d’environ 60 hectares, sur laquelle se tenait le camp principal de Jules César, et qui avec ses talus d’au moins 15 mètres de haut permit aux Romains de résister aux assauts des Gaulois ;

Vers la droite de l’image, le village de Syam ; vers le bas de l’image, vue partielle du parc du château de Syam du 19ème siècle, dont on devine le toit, avec à gauche, ses dépendances ; on peut voir, à gauche de l’image, et aussi vers la droite de l’image, près des maisons, les hauts talus de la grande terrasse de Syam sur laquelle était installé le camp principal romain.

Photographie prise du nord vers le sud de la plaine de Syam ; au milieu de l’image, dans le
fond, on voit les pointes boisées du plateau triangulaire de Chaux-des-Crotenay ; c’était cette vue
(mais à hauteur d’homme, bien sûr) que les troupes romaines virent en pénétrant dans cette plaine
depuis le nord, le lendemain de leur victoire lors de l’embuscade tendue par la cavalerie gauloise ; à
l’extrême gauche de l’image, on voit le talus marquant l’extrémité nord de la grande terrasse de
Syam, sur laquelle les Romains avaient installé leur camp principal ;une partie de l’armée de
secours gauloise envahit à deux reprises la plaine se trouvant ici à droite de cette vaste terrasse
occupée, en partie, actuellement par le village de Syam que l’on voit à l’arrière-plan, vers la gauche ;
à gauche de l’image, au premier plan, le parc du château de Syam du 19ème siècle ; au milieu de
l’image, au premier plan, une partie des bâtiments des anciennes forges de Syam créées elles aussi
au 19ème siècle

Forges de Syam créées au 19ème siècle, longées par la rivière Saine ; vers la gauche de l’image, vue
partielle du parc et des bâtiments du château (partie du toit) du 19ème siècle et de ses dépendances ;
au milieu de l’image, vers la gauche, le village de Syam ; vers le milieu et vers le haut de l’image, on
devine la carrière ayant détruit une partie de la grande terrasse de Syam, dont on voit une partie du
très haut talus à hauteur de maisons du village ; entre cette terrasse et les falaises, sur la droite de
l’image, la cavalerie et l’infanterie de l’armée de secours gauloise attaquèrent à deux reprises dans
la plaine, les Romains installés sur cette terrasse, en vain ; dans le fond de l’image, au milieu, les
pointes et les hauteurs du plateau de Chaux-des-Crotenay

Vue d’une partie de la plaine de Syam ; on voit une partie du village de Syam ; on devine (haies d’arbres rectilignes) la terrasse (une carrière assez récente l’a défigurée), d’origine glaciaire, de Syam, d’une superficie actuelle d’environ 60 hectares, sur laquelle se tenait le camp principal de Jules César, et qui avec ses talus d’au moins 15 mètres de haut permit aux Romains de résister aux assauts des Gaulois ; à gauche de l’image, la hauteur de l’actuelle forêt communale de Champagnole où stationna une grande partie de l’armée gauloise de secours

On devine, grâce aux haies sinueuses, et au pont, la rivière Saine qui va ici de l’est vers l’ouest (de droite à gauche), puis, après avoir été rejointe par la rivière Lemme, va du sud au nord, pour se jeter dans la rivière Ain, au pied de l’actuelle forêt communale de Champagnole ; en haut, à droite, la colline au nord décrite par Jules César ; à l’approche sud de la terrasse de Syam, les Romains avaient installé un double verrou composé, entre autres, de remparts de terre, pour, d’un côté, bloquer les Gaulois de Vercingétorix établis sur le plateau de Chaux-des-Crotenay, et de l’autre côté, empêcher que l’armée de secours gauloise ne puisse rejoindre les assiégés sur le même plateau

A l’extrême droite, le pont sur la Saine qui coule ici de l’est vers l’ouest (de la droite vers la gauche) ; a proximité des deux hangars, les Romains avaient installé un double verrou composé, entre autres, de remparts de terre, pour, d’un côté, bloquer les Gaulois de Vercingétorix établis sur le plateau de Chaux-des-Crotenay, et de l’autre côté, empêcher que l’armée de secours gauloise ne puisse rejoindre les assiégés sur le même plateau ; au centre de l’image, la hauteur de l’actuelle forêt communale de Champagnole où stationna une grande partie de cette armée de secours gauloise

SYAM et CHAUX-DES-CROTENAY
Vue sur les contreforts de la pointe du plateau de Chaux-des-Crotenay ; au premier plan, les arbres de part et d’autre de la courbe de la rivière Saine.

SYAM et CHAUX-DES-CROTENAY
Vue sur une partie de la pointe du plateau ; à l’extrême gauche, les pentes abruptes, défendues par des Romains, à l’assaut desquelles partirent, en vain, finalement, des assiégés gaulois, essayant de rejoindre les 60’000 guerriers gaulois, tentant de prendre d’assaut les deux camps romains installés en surplomb du camp principal de Jules César, établi dans la plaine de Syam, sur une vaste et puissante terrasse naturelle

Territoire de la commune de SYAM
Lors de la bataille finale, une partie des 60’000 guerriers gaulois qui avaient pour objectif de prendre les deux camps romains installés au dessus de la plaine de Syam, s’engouffrèrent dans ce couloir, avec à droite, les premières pentes de la Cote Poire, la fameuse colline au nord de César; au milieu de l’image, au fond, les hauteurs boisées de la pointe du plateau de Chaux-des-Crotenay , d’où Vercingétorix pouvait observer les Romains se tenant dans la plaine de Syam.

SYAM

SYAM

Route entre Syam et le hameau de la Billaude ; de part et d’autre de cette route, des prairies ; pont et rivière Saine ; entre les hangars et le nord de la rivière Saine, les Romains avaient édifié, entre autres, un verrou pour bloquer les Gaulois de Vercingétorix sur le plateau de Chaux-des-Crotenay.

Plaine de Syam, c’est la partie sud de la fameuse plaine de 3000 pas (4,4 kilomètres) de Jules César ; à gauche, pont sur la Saine ; à. droite, prairie au pied de la pointe du plateau de Chaux-des-Crotenay.

Partie de la plaine de 3000 pas (4,4 kilomètres),dont parle Jules César, au nord de la grande terrasse de Syam, où se trouvait le grand fossé de 20 pieds (5, 88 mètres) de large, creusé par l’armée romaine, en avant de 2 autres fossés et de pièges dissimulés dans le sol, pour briser le plus possible les attaques de l’armée de secours gauloise.

Au milieu de l’image, sur la droite, le talus de la vaste et puissante terrasse naturelle de Syam ; on peut voir une carrière aux bords rectilignes qui a détruit une partie de cette terrasse ; le haut talus de celle-ci, masqué par des arbres, se continue en direction du village de Syam ; au milieu de l’image, la fameuse colline au nord de César, la Cote Poire

Vues partielles de la plaine et du village de Syam ; à l’extrême droite de l’image, on voit
une petite partie d’une prairie, on comprend la nécessité pour les Romains d’installer sur ces
hauteurs un camp pour bloquer toute tentative gauloise de submerger par le haut le camp principal
romain installé sur la terrasse de Syam, en contrebas, dans la plaine.

Vue du Domaine de Syam, gîtes et cabanes perchées

Le Château de Syam du 19ème siècle ; une vue partielle de son parc ; et à l’extrême droite,
vue partielle du domaine de Syam, gîtes et cabanes perchées,
Deux vues différentes du château de Syam du 19ème siècle, et de ses dépendances.

Edifié en 1818 par le maître des forges régionales, le Château de Syam reproduit le faste des villas palladiennes de Vénétie.

Vue du village de Syam, d’une partie de la plaine de Syam, et à l’arrière-plan, au milieu et un peu à gauche, vue des hauteurs du plateau de Chaux-des-Crotenay.

Au premier plan, la carrière qui, il y a quelques décennies, a défiguré la terrasse de Syam ; au milieu de l’image, filant vers le nord en longeant des maisons récentes du village de Syam, en direction du château de Syam du 19ème, que l’on devine au milieu de son parc, les pentes boisées des hauts talus de la grande terrasse sur laquelle se tenaient trois, vraisemblablement, légions romaines, alors qu’une partie de l’armée de secours gauloise attaquait dans la plaine, c’est à dire ici à gauche de la terrasse, en descendant des hauteurs se trouvant sur la gauche de l’image ; vers le haut de l’image, à droite, la fameuse colline au nord dont parlait César

Au pied du plateau de Chaux-des- Crotenay et plaine de Syam